Lors du changement de génération dans l’équipe nationale hongroise Georges Leekens a fait le plus grand sacrifice car il s’était sa résponsabilité de faire la transition et personne n’aurait pu l’aider. J’ai tout le respect qu’il a accepté et je pense qu’il l’a accepté consciemment, c’était une connaissance de Monsieur le Président. Il s’agit d’une personne plus âgée, il ne mettra pas grand-chose sur son CV. Il l’a retiré correctement. Ensuite, le travail avec le maître Marco Rossi s’est très bien passé, une équipe s’est constituée qui commence à mûrir, un ou deux joueurs viennent toujours. C’était aussi un long chemin pour expliquer Orbán, parce que nous n’avons pas grand-chose à voir avec lui. Cela s’est réuni, c’est devenu un stade, une culture.